(Religion) Prière qui se fait, chez les chrétiens, avant le repas.
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Charles Deulin, « Les Trente-Six Rencontres de Jean du Gogué », in Cambrinus et autres Contes, XIXe siècle (1874?)
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Et Jean, dont la promenade avait aiguisé l’appétit, se donna à peine le temps de dire son bénédicité, et entra tout de suite en fonctions.
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Sur les deux bancs s’abattent la famille et les domestiques.<br
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dcterms:bibliographicCitation
Michel Tournier, Journal extime, 2002, Gallimard, collection Folio, page 41
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À la fin du dîner, je m’étonne qu’il n’ait pas dit le bénédicité. Il me répond qu’étant le maître des lieux, c’était à moi de le réciter.
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dcterms:bibliographicCitation
Jean-Baptiste Harang, Nos cœurs vaillants, Paris, Grasset, 2010, page 85
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[…] chaque repas commençait debout pour un bénédicité chanté (nous en avions tout un répertoire, dont celui-ci : « Après la grand-route où nous avons marché, après le travail où nous avons peiné, merci pour ce repas, alléluia ! », ou « Bénissez-nous, Seigneur, bénissez ce repas, ceux qui l’ont préparé, et procurez du pain à ceux qui n’en ont pas, alléluia ») et se terminait par une action de grâces […]