_:b9986391 . _:b9986390 "Se disait en droit f\u00E9odal d'une ville qui n'avait pas de commune (sens 1.e.) ni de murailles de pierre, et qui n'\u00E9tait d\u00E9fendue que par des tours et ch\u00E2teaux de bois, qu'on appelait en occitan soit baldrescha soit bastrecha et en fran\u00E7ais bretesche ou breteque. Celles-ci poss\u00E9daient des procureurs d\u00E9sign\u00E9s par le seigneur disposant de leur justice contrairement aux autres communes, capables d'\u00EAtre repr\u00E9sent\u00E9es en justice par leur maire et jur\u00E9s."@fr . "1" . _:b9986390 . _:b9986391 "Car il ne convient pas, ne l'en ne doit souffrir que li menus, ne li plus povres puissent desp\u00E9cier che que le greignenr partie et li miex souffisans acorde, et che que nous avons de tiex establis qui sera fet pour commun des villes; entendons nous par villes batheiches hors de communes: car les villes des communes ont leurs Maires et leur Jurez, liquel sont establis pour la commune, et puevent perdre et gaigner selon la franchise qui leur est donn\u00E9e par les points de leur chartes. ."@fro . _:b9986391 "Philippe de Beaumanoir, Coutumes de Beauvaisis, 1283, ch. IV, p. 32"@fro . .