[…], l’Administration avait défendu de piéger la bécasse, […]. Les bêtes si méfiantes qui s’abattaient à la croûle sur les fagnes pour en extraire les vers, ne prenaient point garde aux filets tendus à plat sur le sol ; elles s’y empêtraient et tous leurs efforts étaient vains. Elles ne pouvaient s’en dépêtrer ou arracher le bâtonnet qui les fixe.
dcterms:bibliographicCitation
Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958