Glace de verre ou de cristal étamée de petite taille, ou métal poli, où l’on peut regarder son image réfléchie.
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Au bout d’une année, le roi épousa une autre femme. Elle était très belle ; mais elle était fière et vaniteuse et ne pouvait souffrir que quelqu’un la surpassât en beauté. Elle possédait un miroir magique. Quand elle s’y regardait en disant :« Miroir, miroir joli,Qui est la plus belle au pays ? »Le miroir répondait :« Madame la reine, vous êtes la plus belle au pays. »
dcterms:bibliographicCitation
Jacob et Wilhelm Grimm,Blanche-Neige, 1812
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Dans cette pièce, l'ameublement est d'une simplicité primitive, mais brillant de propreté. [...] Les bois, comme les cuirs, pourraient au besoin servir de miroirs.
dcterms:bibliographicCitation
Albert Vandal, En karriole à travers la Suède et la Norwége (1876)
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Chrysis tenait, loin d’elle, un miroir de cuivre poli.
dcterms:bibliographicCitation
Pierre Louÿs, Aphrodite, Mercure de France, Paris, 1896
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Leurs compagnes ouvraient leurs sacs, y prenaient un miroir et s’arrangeaient coquettement les cheveux.
dcterms:bibliographicCitation
Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927
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Nous étions à peine installés dans notre trou, et je me rasais, mon miroir posé sur un gabion, quand le lieutenant J. me donna l’ordre de partir aussitôt avec l’équipe […].
dcterms:bibliographicCitation
Alain, Souvenirs de guerre, Hartmann, 1937, page 120
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Elle se savait belle et, lorsqu’elle était seule, il lui arrivait de tirer furtivement de sa poche un petit miroir pour s’y contempler.
dcterms:bibliographicCitation
Out-el-Kouloub, « Zariffa », dans Trois Contes de l’Amour et de la Mort, 1940
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Elle disposa les fleurs au chevet, fit arrêter le balancier de l’horloge, voiler les glaces et les miroirs, fermer les fenêtres et cacher les portraits.
dcterms:bibliographicCitation
Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 21
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Il n’y avait pas de miroir dans la chambre. Depuis qu’il avait eu conscience de sa virilité, Toursène jamais ne s’était servi de cet objet. Les femmes et les enfants pouvaient y contempler à loisir leurs grimaces. Un visage mâle sortait souillé de ce dédoublement impur. L’eau, seulement lorsqu’il se penchait sur elle pour boire, était digne de refléter l’image d’un homme. Elle étanchait sa soif, et venait de Dieu.